Ce petit bâtiment […] avait des caves aménagées en chambres fortes avec portes en fer et c'est dans ces caves que les travailleurs forcés du grand hall étaient amenés au moment des alertes. Il s'agissait, pour les Allemands, moins de nous mettre à l'abri, ce dont ils se moquaient éperdument, que de nous mettre sous clef afin d'empêcher des évasions, pendant que les Posten et les SS se calfeutraient dans les bunkers.